Oui, on la connaît cette histoire. Mais avant d’avoir vu le version de Garri Bardine, vous ne la connaissiez pas vraiment, en fait. Car il fallait tout le talent de cet artiste russe pour mettre en lumière la détresse de ce “caneton” et la beauté inatteignable des cygnes. Tout de pâte à modeler, ce dessin animé trouve surtout sa force dans l’utilisation très pertinente de la musique de Tchaïkovski: Le lac des cygnes bien sûr, mais aussi Casse-Noisette. Il est certain qu’Andersen lui-même en serait ému aux larmes. A voir!
Mots-clé : différence, racisme
Commenté en avril 2012