Corto est bien loin de la mer, puisqu’il est à Berlin. Il y apprend, subitement et avec tristesse, le décès étrange de son ami Steiner. Et l’ambiance, en 1924, y est délétère. Heureusement Corto se dit juif “seulement le samedi”. Le marin n’a pas perdu son humour, et il en aura besoin, car les rencontres, heureuses et malheureuses, se succèdent: une société secrète remplie d’illuminés, une ravissante meneuse de revue, un médium, et évidemment des tueurs. Mais Corto ira au bout de sa vengeance.
Comme d’habitude chez Corto, le réel se teinte d’irréel, mais pour les rêveurs, dans l’Allemagne de l’entre-deux guerres, les temps sont durs…